PERMEABILITY

(2013) - for 19 instruments and electronics

Commissioned by Ensemble Modern with support by Kulturfonds Frankfurt RheinMain, Casa da Música – Porto, and Namascae Lemanic Modern Ensemble with support of Archipel Festival, Geneva

World première: 14 may 2013, Alte Oper Frankfurt. Ensemble Modern, Stefan Asbury conductor

Portuguese première: 19 november 2013 Casa da Música - Porto Remix Ensemble, Peter Rundel conductor

French première: 16 february 2014 Festival Présences Paris, Radio France. Ensemble Modern, Franck Ollu conductor

Swiss première: 22 march 2014 Festival Archipel Geneva. Namascae Lemanic Modern Ensemble, William Blank conductor

Audio/Video

  • May 14th, 2013

    Permeability

  • May 14th, 2013

    Permeability - excerpt 1

    Ensemble Modern, Stefan Asbury (live at Frankfurter Oper)

  • May 14th, 2013

    Permeability - excerpt 2

    Ensemble Modern, Stefan Asbury (live at Frankfurter Oper)

  • May 14th, 2013

    Permeability - excerpt 3

    Ensemble Modern, Stefan Asbury (live at Frankfurter Oper)

    Scores

    • Permeability

      for 19 instruments and electronics, excerpt

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    Press Clippings

    • February 25th, 2014

      Anaclase

      Toujours dans la ville d’Hindemith et Adorno, l’Ensemble Modern fit entendre pour la première fois Permeability (2013) pour dix-neuf instruments et électronique, une pièce signée Oscar Bianchi (né en 1975), musicien milanais des plus doués dont le nom résonnait à Royaumont, Darmstadt ou Strasbourg avant d’être associé à l’opéra Thanks to my Eyes. Reconnaissant à la technologie d’avoir exploré de riches dimensions sonores (physique, structurel, émotionnel et intellectuel), Bianchi célèbre « l’exaltation des éternelles relations entre l’être et le son » avec une partition dont « le titre se réfère au terme utilisé pour évoquer le lien entre les catégories (l’humain, l’animal, la chose) qui autrefois représentait et organisait la vision de l’existence ».

      D’emblée, on sent qu’on est en présence d’un créateur en pleine possession de ses moyens, d’une œuvre résolument inventive et habitée. Des cuivres jacasseurs mais canalisés, un accordéon qui ajoute sa brillance à celle de l’électronique, des instruments peu courants (appeau, bâton de pluie, mégaphone dont un percussionniste tire des phonèmes amplifiés, en hommage discret à Romitelli) participent d’une densité et d’une énergie sans cesse renouvelée. Le foisonnement peut aussi laisser place au frémissement, avec un solo de contrebasson qui rappelle l’affinité du compositeur avec la flûte à bec Paetzold.